Pour cette édition, la programmation comprenait Nausicaä de la vallée du ventPrincesse Mononoke et Mon voisin Tororo; tout ce qu'il fallait pour me motiver à quitter ma Normandie pour aller m'enfermer toute une nuit dans une salle de cinéma parisienne.

Donc, outre le fait que cela m'a permis de rencontrer ou de revoir certains podcasteurs que je suis et apprécie, c'était l'occasion de voir les films de Miyazaki sur grand écran, dans une magnifique salle qui plus est.

Première grosse différence par rapport à ma première Nuit au Max: l'affluence! C'était plein et à 23h la file d'attente était assez impressionnante devant le cinéma, surtout quand, comme moi, on est le dernier de la file.

Malgré ça, dès l'ouverture des portes, tout va très vite, et je me suis vite retrouvé installé, en grande partie grâce à M. Barberouss (du Podcast Quid Novi) qui m'avait gentiment réservé une place de choix. 

En guise de mise en bouche, et comme ça avait déjà été le cas pour la première nuit consacrée à Miyazaki, les organisateurs ont diffusé des extraits du concert organisé par Joe Hisaishi - compositeur attitré des œuvres de Miyazaki – au Budokan de Tôkyô pour célébrer les 25 ans de leur collaboration. Les séquences présentées correspondaient bien évidemment aux 3 films qui allaient ensuite être diffusés durant la nuit. J’ai particulièrement apprécié.


La pause entre Nausicaä et Princesse Mononoke a été l'occasion d'un tirage au sort pour faire gagner de nombreux lots: DVD, blu-Ray, Editions collectors du jeu Ni No Kuni, de très belles aquarelles réalisées pour l'occasion, ainsi que des bandes originales (j'ai d'ailleurs eu la chance de gagner celle de Porco Rosso).

Avant d'attaquer Princesse Mononoke, le court métrage On Your Mark a également été diffusé.


Je ne pourrais pas aller plus loin que la diffusion de Princesse Mononoke puisque le film s'étant terminé vers 6h, cela faisait un peu tard (ou tôt) pour enchainer sur Mon voisin Totoro, donc c'était l'heure du retour sur Rouen en compagnie de Barberouss.

Misteur D a annoncé il y a quelques temps qu'il recherchait des salles en province pour exporter ce concept hors de Paris, pourquoi pas Rouen, hein?


Je ne peux que conseiller ce genre de soirée vraiment sympathique même s’il faut reconnaître que c’est un peu fatigant, j’en ressors à chaque fois ravi.